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Dans cet exemple de phobie d'impulsion, on peut soupçonner qu'à la phase m de la boucle d'adaptation, des croyances faisant un lien entre pensée, émotion et risque de passage à l'acte interviennent. Ce sont des métacognitions: des cognitions au sujet de cognitions du type m1: “Si j'y pense trop, ça va finir par arriver.” (pensée magique) m2: “Si je me sens trop mal, je vais faire n'importe quoi”. (m1 est un mème plutôt obsessionnel, m2 est un mème de trouble panique). Alors que dans la réalité, le sujet ne passe jamais à l'acte. Mais il croit à tort que c'est grâce à cet hypercontrôle et cette hypervigilance sur ses pensées qu'il ne passe pas à l'acte (cf “le mème SHADOK”). Eléments de traitement: - la Relaxation va couper le lien entre o et m2. - la modification des pensées (RS - restructuration cognitive) et l' Exposition à la situation évitée jusqu'à habituation coupent le lien entre m1 et i. retour à l'imaginaire
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Causalité circulaire Retrouver de quelle façon un problème s'auto-entretient fait partie de la démarche cognitivo-comportementale. Se représenter un cercle vicieux comme le problème permet de trouver des solutions plus efficaces que de rechercher une “cause originelle” hypothétique. Bien entendu, ce sont certaines croyances qui permettent au problème de continuer à tourner en boucle. Prenons l'exemple d'une phobie d'impulsion à type de peur de passage à l'acte violent:
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Plan
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